mercredi 24 octobre 2012

Le plateau de Gizeh.

Daniel Lavoie. PREUVES VISUELLES DE LA CONFIGURATION DU SOUS-SOL DU PLATEAU DE GIZEH LAISSEES A LA POSTERITE PAR LES TEMPLIERS. Le plateau de Gizeh. Monument partiellement dégagé par des égyptologues montrant que des salles souterraines existent. Lorsque les templiers récupérèrent les archives du roi Salomon à Jérusalem, ils eurent également, en leur possession, une espèce de protocole qui leur permit d’accéder, en toute sécurité, aux archives de l’Atlantide, entreposées par les Anciens sous le plateau de Gizeh. Ayant vu de leurs propres yeux des preuves incontestables et, noté certaines configurations du sous-sol du plateau de Gizeh, ils laissèrent à la postérité des archives secrètes qui furent mises en sécurité jusqu’à ce que, un jour, certaines personnes mettent la main dessus. LE PERE KIRCHER ( 1601 - 1680 ) Le père Kircher fut un des personnages à mettre la main dessus mais, sachant que la postérité ne comprendrait pas forcément le Latin, l’Arabe, l’Hébreu de son livre OEDIPI aegyptiaci, il illustra celui-ci en nous faisant remarquer qu’un bon schéma vaut mieux qu’un long discours. Ce schéma sera également repris et transmis à la postérité par le biais du livre intitulé : Vetera Monimenta, publié à Rome en 1690, du Père Joannes Ciampinus. Les pyramides terminées en pointe ainsi que celle terminée en plate-forme carrée, fortement mise en évidence, symbolisent le plateau de Gizeh. Configuration du sous-sol du plateau de Gizeh. La partie inférieure du dessin qui est dessinée en coupe nous donne un avant goût de la configuration du sous-sol du plateau de Gizeh. Observons cette partie en coupe. Nous voyons en partant de la gauche vers la droite : Un escalier Un puits Un tunnel à deux entrées Un sarcophage sur lequel est positionnée une plaque gravée ou sculptée. Un labyrinthe, constitué de salles reliées entre elles, projeté sur le sol. Enfin sur la gauche, un grand sarcophage sur lequel un faucon, symbolisant le dieu Horus, écarte les ailes. Cette configuration du sous-sol du plateau de Gizeh sera confirmée par l’égyptologue M.r. Emile Baraize dont nous avons déjà mentionné le nom à l’occasion du couloir obstrué dans la face nord du Sphinx et par le rapport du Docteur Sélim Hassan, Directeur de l’équipe de recherches scientifiques de l’Université du Caire. TEMOIN GENANT D’UNE CIVILISATION TRES AVANCEE. Par Tony BUSHBY " 2003 d’après le Chapitre 8 de son livre The Secret in the Bible publié par Stanford Publishing Group et Joshua Books, PO Box 5149, Maroochydore BC, Qld 4558, Australia. UNE CITEE ENFOUIE SOUS LE PLATEAU DE GIZEH. En 1935, au moment de l’aboutissement de très importants travaux de déblaiement de sable et de coquillages dirigés par Emile Baraize, qui durèrent onze ans, des histoires remarquables commencèrent à naître au sujet des découvertes réalisées. Un article de presse, écrit et publié alors par Hamilton M. Wright, traita d’une découverte extraordinaire sous les sables de Gizeh, que l’on refuse aujourd’hui d’admettre. h5-1.jpg L’article était accompagné de photographies d’origine venant du Dr Selim Hassan, le directeur de l’équipe de recherches scientifiques de l’Université du Caire qui fit la découverte. Il déclarait : Nous avons découvert un passage souterrain utilisé il y a 5.000 ans par les anciens Egyptiens. Il passe en dessous de la chaussée menant entre la deuxième Pyramide et le Sphinx. Il permet de traverser la chaussée qui mène de la Pyramide de Khéops à celle de Khéphren. A partir de ce souterrain, nous avons déterré une série de puits donnant accès, 125 pieds en contrebas, et de petites pièces et salles latérales. Le Dr Selim Hassan et d’autres continuent à croire et à affirmer publiquement, bien que l’âge du Sphinx ait fait partie des énigmes du passé, qu’il avait pu appartenir au grand projet architectural qui fut organisé et exécuté à dessein en même temps que l’érection de la Grande Pyramide. Des archéologues firent au même moment une autre découverte majeure. A peu près à mi-chemin entre le Sphinx et la Pyramide de Khéphren on découvrit quatre énormes puits verticaux, chacun d’environ 3 m2 conduisant tout droit au fond du calcaire massif. Ces puits portent le nom de "Tombeau de Campbell", sur les cartes maçonniques et rosicruciennes, et "ce complexe", dit le Dr Selim Hassan, "se terminait par une cour close, au centre de laquelle une autre cheminée descendait vers une salle flanquée de sept chambres." Certaines d’entre elles contenaient d’immenses sarcophages de basalte et granit, scellés, de 6 mètres de haut. La découverte avançait et, dans l’une des sept chambres, une troisième cheminée verticale menait profondément à une chambre beaucoup plus basse. Au moment de cette révélation, elle était inondée, l’eau recouvrant en partie un unique sarcophage blanc. Elle fut appelée ’’Tombeau d’Osiris’’ et présentée par un montage documentaire télévisé de mars 1999 comme étant "ouverte pour la première fois". Explorant ce site en 1935, le Dr Selim Hassan déclara : Nous espérons trouver quelques monuments importants après avoir évacué cette eau. La profondeur totale de cette série de puits est de plus de 40 mètres soit plus de 125 pieds... Ces détails ne représentent qu’une petite partie du rapport complet du Dr Selim Hassan qui fut publié en 1944 par la Presse Gouvernementale, au Caire, sous le titre Fouilles à Gizeh (en 10 volumes.) On fit un court métrage de l’expédition, et un documentaire appelé Chambers of the Deep (Salles des Profondeurs) qui fut par la suite visionné de façon confidentielle. CHRISTOPHE COLOMB Le Catalan Christophe Colomb et non le Génois, récupéra des cartes marines très anciennes lui indiquant des îles à l’ouest. Comme le rappelle l’abbé catalan Jacint Verdaguer dans son poème au titre très évocateur intitulé ATLANTIDA, avant de partir, Christophe Colomb savait où il allait. Muni de ces cartes ancestrales, les voiles de ses caravelles sur lesquelles arboraient les croix templières le poussèrent vers l’ouest où il redécouvrit l’Amérique en 1492. La carte de Zeno montre une configuration de l’Atlantique Nord, avec des montagnes et des îles inconnues qui n’existaient ni à l’époque de Christophe Colomb et de Zéno. Les Cartes de Piri REIS Dans ses notes, l’amiral Piri REIS révèle l’origine de ces cartes. Au cours d’une bataille navale livrée en 1501 contre les Espagnols, un officier turc du nom de Kemal fit un prisonnier qui avait participé aux trois voyages historiques de Christophe Colomb. Ce prisonnier espagnol possédait tout un lot de cartes fort curieuses. Le commandant Larsen a fait là-dessus la déclaration suivante : "L’Office Hydrographique de la Marine a vérifié une ancienne carte (dite carte de Piri Reis) établie, il y a plus de cinq mille ans. Elle est tellement précise que seul un survol mondial pourrait l’expliquer. A première vue, l’Office Hydrographique s’est refusé d’y croire, mais il a fini par constater l’authenticité de la carte et il s’en est même servi pour corriger des erreurs dans certaines cartes contemporaines" LE TEMPLE D’ABYDOS OU LE TEMPLE DE LA TECHNOLOGIE AVANCEE Liens : Témoin gênant d'une civilisation très avancée. Par Tony Bushby ” 2003 d’après le Chapitre 8 de son livre The Secret in the Bible publié par Stanford Publishing Group et Joshua Books, PO Box 5149, Maroochydore BC, Qld 4558, Australia. Ancient Cities Under The Sands of Giza Carte de Piri Reis - Wikipédia 2012 les énergies inversées les calendriers mayas 2012 Les énergies inversées - Les ... - Les messagers du Temps

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire