mardi 20 novembre 2012

Traditions et légendes de Belgique (12 et fin).

(*) Moke. Mœurs, usages, fêtes et solennités des Belges. Bruxelles, II, 84-85; Coremans, p. 151 ; Wolf, I, 149-162; Études historiques sur les légendes scandinaves de la province de Luxembourg, Ar1on, p. 58 sq. [49] Mertens, t. III, 471. [50] Diest, p. 151. [51] Azevedo. [52] Ibid. [53] J. Borgnet, S.I.a.T.N., pp. 42-48. [54] A Anvers la chanson commence: Morgen rydt de reuzenwagen, de reuzenwagen, Kinderen bly! En dan dragen wy kantenkragen, kantenkragen, Keleren van zy! Keer u eens 0m, reusken! reusken! Keer u eens 0m, Reuzenblom ! [55] Ana, 2 cah pp. 6-7. [56] Die zeit: wy zyn van reuzen gekomen, Zy liegen daer om, Keert u eens om, reusken, reusken! Keert u eens om, reuzeblom! [57] De Coussemaker, p. 141. * H.v.F.N.V. p. 319-320; Willems, p. 299. [58] Van den Bogaerd, t. III, 249. [59] Clément, II, 250-252. [60] De Coussemaker, p. 93-94. [61] Cette chanson est écrite dans le dialecte du Limbourg. [62] Clément, I, 154. [63] Tuinman, t. II, 32-156. [64] Ploennies, p. 84. [65] Volksleesboek, pp. 12-13. [66] Tuinman, I, 349. [67] Lettre de M. Du Moulin à Meerhout, [68] Coremans, p. 50. [69] Cornet, pp. 42-43. [70] K.e.L., 1841, p. 43. Avondtroodt, Mss., p. 20. [71] Volksleesboek,p. 14. [72] Diest, I, 190-192. [73] Coremans, p. 56. [74] Cornet, pp. 39-50. [75] Mons, par Paridaeus. Mons, 1819, p. 82. [76] H.d.E.d.B., t. III, 310-311 ; 287-288. [77] Coremans, p. 76. [78] De Smet, M.d.M p. 340-343. [79] Bovy, II, 262-3; Gazet, p. 305-306; Van Alkemade, II, 193-194; B.M., p. 38. [80] On ne sait pas au juste ce que signifie ce nom. M. Coremans croit, que « dad » remplace « dod » et que « sisas » et « sisa » se disent pour « siso ». « Dadsisas » serait donc chant de mort. En Dalmatie, les Morlaques appellent leurs repas de mort « daca, » mot dont on ne connaît pas non plus la vraie origine. [81] Schayes, L.P.B., I, 311-312; Raepsaet, p. 26; Coremans, pp. 14, 15, 110. [82] Tuinman Voorteekenen, p.5; Coremans, p. 77. [83] Coremans, p. 110-112. [84] Bovy,II, 60. [85] Coremans, p. 103. [86] Belgisch Museum. Gent, 4837, t. I, 176 sq.; Légendes et Traditions de la Belgique, par M. de Ploennies. Traduit par L. Piré. Cologne, 1848, p. 234 sq. [87] Ana, cah. I, p. 9. [88] M. le baron de Reiffenberg a explique ce mot par le thiois: « behoorten » ou « behoorden, » père du mot français heurter, » et qui convenait très-bien à cette espèce de tournois primitif (*). (*) Coremans, p. 102. [89] La fête bien connue du Roi de l'Épinette à Lille se célébrait chaque année le premier dimanche du carême. [90] Quelques auteurs expliquent ce nom par « lundi inutile», le mot blauw eu flamand aussi bien que bleu « en français ayant la signification de « nul, vide, » signification qui s'est conservée dans les phrases « eene blauwe uitvlugt; blauwe bloempjes, » etc. « faire des coups bleus, des contes bleus. » D'autres croient que le mot dérive soit du vieux « blueten, » se réjouir, « blisse » (gaieté) soit de l'anglais « plough-monday, » parce qu'en différentes villes de l'Allemagne on promenait, le lundi bleu, une charrue, tout comme en Angleterre au « plough-monday. » [91] Coremans, p. 47. [92] Coremans, A.b., pp. 49; 50; 58; 63. [93] Wauters, H.d B., III, 48; Revue de Bruxelles, 1841, octobre. [94] Coremans, p. 77. [95] Tuinman Voorteekenen, 5. [96] Tuinman, I, 94. [97] Coremans. 45. T [98] Coremans, p. 123-125; Telleri dissert. de Fratribus Kalendariis; Van Alkemade, 1, 302-303. [99] Constitution et Règlement de la Société royale de Saint-Sébastien à Bruges. Bruges, 1846. [100] Schayes, p. 154.

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