lundi 16 juillet 2012

Avis de lecteurs.

Félicitations d'avoir osé ces pages d'écritures sur nos Chevaliers... Enfin une plume féminine ! Amitiés!

Avis de lecteurs

Coucou Annik, Je viens de terminer ton livre (Nostradamus...). J'ai adoré. J'ai surtout apprécié les passages dans lesquels tu situes ton histoire en Belgique (on se sent proche des personnages). Je viens de commander l'autre sur Edilivre. Toutes mes félicitations pour ton travail. A bientôt. Caro.

Avis de lecteurs

Avis des lecteurs Conte chevaleresque emprunt d'ésotérisme absolument captivant 26/06/12 ‘’La Gardienne de la 9e porte’’ est un ‘’roman à thème’’ absolument captivant, d'autant plus si l'on sait que la plupart des personnages existent réellement. Une lecture accessible à tous, même aux grands lecteurs qui en profiteront pour détendre leurs méninges. Toutefois, si ces derniers souhaitent passer outre la simplicité si bien décrite dans la préface de Rudy Cambier, il leur faudra s'armer de 2 clés livresques, pour comprendre la face cachée de ce conte chevaleresque emprunt d'ésotérisme : « Rex Deus » (1) et « L'oeuvre du Vieux Moine - Tome 1 - Le dernier chemin des Templiers » (2). Mais ne cherchez pas trop et laissez-vous bercer par la féerie des lieux…
Mes Amis, amoureux de la belle littérature, voici un extrait du livre d' Annik Couppez Véronèse d'Olrac, après quelques phrases de lecture déjà, on a vraiment envie de lire plus loin. Avec grand plaisir, je le partage avec Vous. :))) Photo : Mes Amis, amoureux de la belle littérature, voici un extrait du livre d' Annik Couppez Véronèse d'Olrac, après quelques phrases de lecture déjà, on a vraiment envie de lire plus loin. Avec grand plaisir, je le partage avec Vous. :))) LA GARDIENNE DE LA 9e PORTE, paru aux éditions Edilivre. par Annik Couppez Véronèse d'Olrac Photo : LA GARDIENNE DE LA 9e PORTE, paru aux éditions Edilivre. par Annik Couppez Véronèse d'Olrac
LA GARDIENNE DE LA 9e PORTE, paru aux éditions Edilivre. par Annik Couppez Véronèse d'Olrac Photo : LA GARDIENNE DE LA 9e PORTE, paru aux éditions Edilivre. par Annik Couppez Véronèse d'Olrac

La presse en parle

Paru dans le Petit Tram Juin-Juillet 2011 PORTRAIT D’AUTEUR : Annik Couppez Véronèse d’Orléac – « la gardienne de la 9e porte", paru chez Edilivre 2012 « La gardienne de la 9e porte » est un roman d’aventure historique dont l’intrigue se situe au 21ème siècle mais dont le cœur plonge ses racines dans le mystère du trésor des Templiers. A travers ce roman, vous suivrez la quête à travers plusieurs pays de personnages riches et attachants, un régal pour les novices comme pour les initiés. Ce matin, j’ai rencontré Annik dans sa maison de Virginal. Hennuyère de racines, elle est brabançonne de cœur depuis plus de 20 ans. Née d’une mère violoniste et d’un père « littéraire », elle baigne depuis l’enfance dans le milieu artistique. Comme elle le dit elle-même : « Mes parents étaient très ouverts d’esprit, ils m’ont offert un cadre dans lequel je pouvais expérimenter ma soif de découverte et de rencontre … Ma famille m’a permis d’être moi ». D’une enfance sauvageonne, à courir dans les champs, fureter dans les grottes, elle garde un appétit de vivre tout ce qui la fait vibrer. Après des études de journalisme, une carrière dans le mannequinat, dans le théâtre, le chant, la sculpture, elle se lance avec bonheur dans l’écriture. « Ce qui mène ma vie, c’est l’émotion, les rencontres, je ne peux vivre que dans ce qui me fait vibrer, la monotonie tue la créativité, dans la vie, il faut faire des choix et je fais ceux qui me nourrissent ». Lorsque je lui demande comment elle en est arrivée à l’écriture de ce roman, elle plonge dans son passé : « Ma grand-mère écrivait, elle a transmis cette passion à mon père qui, lui-même, me l’a ensuite transmise. Lorsque j’écris, je le fais à ma façon, sans chercher un sujet « porteur », sans chercher à ressembler à quelqu’un d’autre ». Comme elle le dit, toute sa vie est histoire de rencontre et de transmission. L’histoire de ce livre, c’est d’abord l’histoire d’une rencontre, celle de Rudy Cambier, philologue et spécialiste du moyen âge. « Je l’ai rencontré dans le cadre d’un article sur ses travaux. De là, est née une belle amitié, c’est lui qui m’a accompagnée dans ce travail de longue haleine. » Deux années seront nécessaires pour arriver au point final de cet ouvrage. Deux années consacrées à faire des recherches auprès de spécialistes pour « avoir une base solide », à cheminer sur son propre chemin, à rencontrer d’autres personnes, à laisser vivre et grandir les personnages de son histoire. « J’ai choisi la forme du roman pour rendre les travaux de Rudy accessibles au plus grand nombre. La lecture de ce roman je l’ai voulue construite sur trois niveaux : une lecture accessible au quidam, basée sur un roman d’aventures, un deuxième degré avec des références pour ceux qui s’intéressent à l’histoire des templiers et un troisième dont les références ne sont accessibles qu’aux initiés. » C’est sans doute ce qui rend cet ouvrage passionnant, on sent que derrière les mots, il y a de la chair, une véritable recherche et une envie de partager. Et après le point final … ? « J’ai voulu laisser la fin ouverte sur une possibilité de suite … on verra J »

Préface de Rudy Cambier

Éloge de la simplicité Dans son discours de réception à l’Académie Française, Buffon énonça cette phrase étonnante : Le style est l'homme même. Vérité surprenante de paradoxe : l'art n'est-il pas toujours et partout artifice, convention, déguisement ? Bien sûr que oui ! Mais combien de fois – des centaines, des milliers ? – n'ai-je pas constaté que Buffon avait vu juste... Car le paradoxe n'est pas là où on l'attend, pas dans l'art mais dans l'homme : le petit homme ordinaire est un petit menteur et l'homme public est un grand, un immense menteur. Telles gens qui ne parlent que de défendre ou prononcer la justice sont seulement avides et iniques ; tels politiciens ou syndicalistes qui se clament les défenseurs des petits travailleurs s'acharnent à faire grosse fortune, et vite ; telle vedette qui se construit une renommée de charmante gentillesse est, hors caméras et micros, une fort méchante rosse ; et tel don juan susurre "De toute ma vie je n'ai jamais croisé une femme comme toi" à celle qui vient de lui faire savoir en se plaignant de son homme qu'elle a envie de passer, dévêtue, une couple d'heures en présence de ce semi-professionnel de la baise subreptice. Les artistes aussi font tout cela. Mais l'art de l'écriture est différent en ceci que Buffon avait bien perçu : lue attentivement – vraiment attentivement – toute œuvre d'écriture livre l'être intime de l'écriveur. Je vais vous donner un exemple qui est à l'exact opposé d'Annik : si vous lisez attentivement les romans de Mauriac, vous comprenez que l'auteur, qui affecte et affiche la sainteté formelle, est un sinistre faux-cul infecté de presque tous les vices que Satan, en sa malignité, créa. Il y a un sacré bout de temps que je connais Annik. Deux images pour vous la montrer : Annik, dans la mer à Cuba, apprivoisant des dauphins jusqu'au point de les amener à venir la caresser, et Annik, quelque part en Afrique, parvenant à prendre et papouiller un lionceau à côté de la lionne qui surveille, et à portée d'un coup de griffe mortel ! Voilà donc qui est cette femme d'une force de caractère hors du commun. Par des moyens simplissimes – pas de mots, peu de gestes – elle conquiert l'âme des êtres sensibles en leur parlant avec le langage de son cœur seulement : bonté, gentillesse, générosité et simplicité. Le style d'Annik, c'est ça : pas d'effets gratuits, pas de "m'as-tu vu écrire", pas non plus de ces collections de ficelles et de trucs qu'on enseigne dans les écoles d'écriture américaines et autres, non, rien que la simplicité. Les cuistres, je le sais d'avance, dénigreront cette manière de faire les phrases. Je vais donc répondre par avance aux méchancetés dédaigneuses qu'ils n'ont pas encore dites. Moi, je suis un vieil homme de la terre et mon style est à l'image de la terre, parfois sec comme un désert, parfois gai comme un pinson, parfois acéré et attentif comme les loups en chasse, parfois complexe comme une molécule d'ADN, parfois calme comme un bord de mare. Mon style est terrien, celui d'Annik, lui, est stellaire en ce sens que ses livres sont composés uniquement d'une accumulation d'atomes légers, et puis tout d'un coup, on s'aperçoit que ça brille, comme une étoile. Mais seul le sage voit les étoiles... Il me reste à remercier Annik d'avoir puisé dans mes travaux une partie de la trame de son roman car cette histoire que j'ai découverte, l'histoire vraie de sauvetage de l'Ordre du Temple manigancé par le prieur de l'abbaye cistercienne de Cambron, est tellement surprenante et tellement belle qu'elle mérite de devenir une légende.