mercredi 19 juin 2013

Geoffroy de Charnay

Geoffroy de Charnay a passé environ 18 ans au sein de l'Ordre du Temple et a occupé successivement des fonctions importantes au sein de l'ordre. En 1283, il est précepteur à Lieu-Dieu de Fresnes, en 1294 à la commanderie de Villemoison, en 1295 à la commanderie de Fretay, et enfin en 1307, il devient précepteur pour toute la Normandie.

Le terme d’inquisition est impropre.

Le terme d’inquisition est impropre. On pour désigner cette juridiction d’exception ,alors qu’il s’applique seulement à la procédure : inquisitio haereticae pravitatis recherche de la perversité hérétique). Mais il est d’un usage courant. Cette institution, initialement fondée pour combattre l’hérésie cathare, avait progressivement fixé ses règles et développé son pouvoir. Elle avait sa jurisprudence, ses manuels, dont ceux de Gui Foulque (qui fut pape sous le nom de Clément IV),de Raymond de Penafort, de Bernard Gui. Le grand inquisiteur, ou inquisiteur général, était nommé par le pape et ne relevait que de celui-ci. Il ne pouvait être éventuellement sanctionné que par le Saint Siège. Les archevêques, les évêques n’avaient aucun droit de contrôle effectif sur ce redoutable personnage occupant dans l’église une place exceptionnelle. Il était au-dessus des rois, des princes et des plus grands seigneurs. Il nommait les simples inquisiteurs, lesquels devaient être plus âgés de plus de quarante ans, connus pour leur rectitude religieuse, Maitres en théologie, initiés au droit inquisitorial, à la dialectique et bien informés des déviations de la foi. Les inquisiteurs allaient toujours par deux, chacun avec son socius, l’un surveillant l’autre, au besoin l’absolvant. C’étaient, à leur manière, des chevaliers de la foi, des paladins intrépides, du moins dans les débuts de leur institution, car plusieurs d’entre eux périrent assassinés dans des conditions affreuses. Au temps de Philippe le Bel, ils ne risquaient plus leur vie. Le pape exigeait d’eux une absolue pureté de mœurs. IL était évident que les défenseurs du dogme devaient donner l’exemple de la rigueur, sous peine de tomber dans la dérision. Le pape les démettait de leurs fonctions en cas de manquement grave à leurs devoirs et les sanctionnait avec la dernière sévérité. Très peu d’entre eux succombèrent à la tentation. Les inquisiteurs avaient le cœur desséché. Comme dévorés par la foi, ils récusaient tout sentiment humain et n’éprouvaient d’amour que pour Jésus-Christ. C’étaient des fanatiques du dogme, avides de découvrir une perversion quelquonque et de l’exploiter. En principe, mais en principe seulement, leur rôle était de sauver les âmes menacées de perdition. En fait, c’était de châtier. Ces châtiments allaient parfois jusqu’à l’exclusion définitive de la communauté chrétienne, c'est-à-dire à la damnation éternelle, les flammes du bûcher préfigurant celles de l’enfer. Ils apportaient dans l’exécution de leur mission une détermination farouche, une habileté peu commune, parfois une sombre passion.
Les moyens qu’ils utilisaient pour détecter les suspects sont dénonciations ou autres. D’autant que les Templiers leur furent livrés par le roi, ce qui simplifiait l’enquête préalable, souvent longue et difficile ! On en arrive donc à la procédure proprement dite. Le principe de l’inquisition n’était pas de rechercher la vérité, mais d’établir la culpabilité des suspects. Le fait même de comparaître devant un inquisiteur constituait une présomption de faute contre la foi, car un bon chrétien n’appelait pas le soupçon sur lui. La délation était non seulement admise mais recommandée et même systématisée. Il ne suffisait pas d’avouer, mais de dénoncer ses complices et de préciser les circonstances. Hormis de très rares exceptions, tous les témoignages étaient acceptés, même ceux qui émanaient de meurtriers,de condamnés de droit commun et d’hérétiques réconciliés, et cela par exception au droit canon. Seules les dépositions défavorables étaient prises en compte. L’accusé n’avait pas de défenseur : on eût taxé celui-ci de complicité et on l’eût déféré devant la juridiction. Il en était de même pour les témoins favorables. Nogaret avait monté le dossier d’accusation à partir de faux témoignages, émanant de personnages douteux, de Templiers exclus de la maison et avides de se venger. Frère Guillaume Imbert ne les récusa nullement, en dépit de leur caractère mensonger. Les Templiers n’eurent pas de défenseurs et ne bénéficièrent pas de conseils juridiques.

The templars.

Geoffroy de Charnay, précepteur de Normandie, fut le premier des quatre dignitaires du Temple à être interrogé, le 21 octobre 1307. Il était âgé de cinquante-six ans. Il avait été reçu à l’âge de dix-huit ou dix-neuf ans dans la commanderie d’Etampes, par frère Amaury de La Rroche, en présence de frère Jean de Franceys, précepteur de Paris, et de quelques autres, tous décédés.
« … Il dit aussi sous serment qu’après qu’on l’eut reçu et qu’on lui eut mis le manteau au cou, on lui apporta une croix sur laquelle était l’image de Jésus-Christ. Et le même frère qui le reçut lui dit de ne pas croire en celui dont l’image y était représentée, parce qu’il était un faux prophète et qu’il n’était pas Dieu. Et alors celui qui le reçut lui fit renier Jésus-Christ trois fois, de bouche non de cœur, à ce qu’il dit.
Requis de déclarer s’il avait craché sur l’image elle-même, il dit sous serment qu’il ne s’en souvient pas et qu’il croit que c’est parce qu’ils se hâtaient.
Interrogé sur le baiser, il dit sous serment qu’il baisa le Maitre qui le recevait sur le nombril, et il entendit frère Gérard de Sauzet, précepteur d’Auvergne, dire aux frères présents au chapitre qu’il estimait qu’il valait mieux s’unir aux frères de l’Ordre que de se débaucher avec les femmes, mais il ne le fit jamais et ne fut pas requis de le faire, à ce qu’il dit.
Requis de déclarer sous serment s’il avait reçu ou fait recevoir quelques frères dans l’Ordre susdit, il dit, sous serment, que oui. Il dit aussi sous serment que le premier qu’il reçut dans l’Ordre, il le reçut de la même façon qu’il fut reçu lui-même, et tous les autres il les reçut sans aucun reniement ou crachat ou quoi que ce fût de malhonnête, conformément aux statuts primitif de l’Ordre, parce qu’il s’apercevait que la manière dont on l’avait reçu était honteuse, sacrilège et contraire à la foi catholique…. »
Geoffroy de Charnay, précepteur de Normandie, interrogé le 21 octobre, fait l’effet d’un homme brisé moralement et physiquement. Il a cinquante six ans. Il est Templier depuis trente-sept ou trente-huit ans.Il avoue tout ce que veut l’inquisiteur : le reniement, le baiser sur le nombril et l’incitation à l’homosexualité par le précepteur d’Auvergne, Gérard de Sauzet. Ou bien il a réellement perdu la mémoire, ou bien il divague. Car la carrière de Gérard de Sauzet est parfaitement connue. Quand il était commandeur d’Antioche, il provoqua la perte du château templier de Gastein. Il fut rétrogradé, condamné à servir comme simple chevalier. Le Maître Guillaume de Beaujeu ne le tira de l’obscurité qu’en 1289 pour le nommer précepteur d’Auvergne. Or, il y avait une vingtaine d’années que Charnay avait été reçu au Temple !Mais celui-ci met également en cause le vénérable et vénéré Amaury de La Roche. A la fin de son interrogatoire, il semble reprendre ses esprits ; il esquisse un moyen de défense, en affirmant que les frères qui furent reçus par lui ou par les commandeurs de sa province , l’ont été « sans aucun reniement ou crachat ou quoi que ce fût de malhonnête, et conformément aux statuts primitifs de l’Ordre, parce qu’il s’apercevait que la manière dont on l’avait reçu était honteuse, sacrilège et contraire à la foi catholique ». Ce faisant, Charnay soulève involontairement le délicat problème d’un double statut : la règle approuvée par le concile de Troyes en 1128 et une règle secrète, dont on ne sait rien et dont aucun exemplaire ne fut saisi par les gens du roi. Il est d’autant plus incompréhensible que l’inquisiteur se soit abstenu de le questionner sur cette règle secrète. Mais il avait intérêt à ce que le mystère s’épaissit.

(suite) La fin des Templiers par Rudy Cambier.

(suite) La fin des Templiers par Rudy Cambier. Scène 7 *** Albert Julien ! Julien Oui, Pa. Albert Julien tu me mets dans l'embarras. Julien (Silence.) Albert Julien … je suis bien embêté. Tu sais que ta mère me tanne le cuir. Julien ne répond jamais Où en es-tu avec cette histoire ? Ça fait du remue-ménage, mais il faut bien que les gens babillent. Tu peux te contrefiche de l'opinion dite publique qui vaut beaucoup moins que les filles du même nom, mais il y a ta mère qui elle, n'est pas une puissance négligeable. Il me plairait assez que tu l'envoies paître, mais ce ne sera pas un détail dans votre histoire d'amour. Quelles sont tes intentions ? Ce qui enrage ta mère n'est pas que tu fasses des frasques, c'est que tu ne deviennes pas curé. Note qu'elle pourrait s'en consoler si nuptialement tu visais très haut, mais toi, tout ce que tu trouves à lui ramener en guise de bru, c'est la fille du Philosophe ! Est-ce que vous avez des projets précis ? Mais comment pourrais-je t'aider si tu restes là buté comme un crapaud sous une betterave ? Et elle, cette demoiselle, pourquoi t'a-t-elle choisi, toi ? T'es-tu seulement posé la question ? Elle dit sûrement qu'elle t'aime mais n'y a-t-il pas du calcul là derrière ? Bien sûr, tu la crois, tu flottes sur un petit nuage, le Soleil brille plus fort. On est tous pareils à ton âge : on se dit "Je l'aime, donc elle m'aime, je l'épouse comme ça elle sera à moi et à personne d'autre et ça durera toujours". Les jeunes, ça s'enflamme aussi vite que de la poussière de paille dans une grange, et ça se termine de même : par une catastrophe. J'imagine que tu seras logé chez ton beau-père. La mère comment va-t-elle s'accommoder de sa fille en puissance d'époux ? Et celle-là en plus, comme toute femme adultère, elle est avide. Elle lorgne le bien de son mari et chaque soir, elle s'endort en espérant être veuve au matin. Tu verras : s'il arrive malheur au Philosophe, la mère et la fille s'entrebattront à mort pour l’héritage. Laquelle des deux gagnera ? Et puis, as-tu vu la mère ? Tu as regardé sa mère ? Si tu veux savoir comment sera une femme dans quinze ans, regarde sa mère. Regarde donc ta future belle-mère : une démarche de laboureuse, un nez de vigneronne, des dents de canassonne, un cul de percheronne, je m'arrête là dans le portrait, et tout ça mis à la disposition d'un escadron d'usagers : c'est abondant, autant que ça serve ! Voilà ce qui t'attend, mon fils Voilà ton avenir : telle mère, telle fille. Julien vient se planter devant son père, le défie du regard, puis méchant et sans crier : Julien Il y a une chose que tu ne peux pas imaginer : même comme ça, je l'aimerais. Même quand elle sera comme ça, si elle m'aime encore, je l'aimerai. Parce que toi qui sais tout, il y a une chose que tu ignores, c'est que la beauté d'une femme est dans l'œil qui la regarde. Mais je retiens que tu as sali la femme que j'aime. Albert Mais non je ne salis personne et tu aimes qui tu veux. J'essaye de t'ouvrir les yeux. As-tu seulement bien réfléchi ? Julien Réfléchi ? L'amour qui soupèse et calcule n'est pas l'amour. En amour, celui qui doit réfléchir n'aime pas. Je ne voudrais jamais d'une femme qui doit réfléchir pour savoir si elle m'aime oui ou non. L’amour fonce tout droit et il ne se cache jamais. S’il calcule, s’il se cache, c’est du cul ou c’est de l’intérêt, c’est pas de l’amour. Albert Bah bah ! L'amour est une fièvre de mars qui ne dure jamais plus que la saison des giboulées et la joie du couple nouveau-né est une fontaine bien vite tarie dans le désert de l'ennui. La vie quotidienne, mon garçon, est une procession de jours gris. Avant d’engager vraiment ton cœur, sache bien que le seul moyen pour qu'un ménage tienne en restant digne, c'est de faire la paire au quotidien. Julien Je l'aime. Je ne me suis donc pas demandé si nous faisions la paire ou la triplée puisque nous ferons un. Albert En tous cas, on dirait bien que cette fille t'a éveillé et c'est une bonne chose. Je vois que tu t'accroches à elle et je te donne raison : je sais que c'est une fille de valeur. Je dirai à ta mère que tu n'as pas cédé. Et quoi qu'il puisse m'en coûter, je te laisserai vivre ta vie comme tu l'entends. Sache seulement que de toutes mes forces et de toute mon âme je voudrais que vous soyez heureux. ° ° ° ° ° (à suivre).

lundi 17 juin 2013

Front Entrance to Rosslyn Chapel, Scotland with Templar Cross overhead

 
Front Entrance to Rosslyn Chapel, Scotland with Templar Cross overhead

Rosslyn is a very special place, indeed, and its energies are an especially potent blend of geomantic and cosmic energies that converge precisely at this point. Here is a rare concentric apex.

Roslyn sets on a powerful telluric generator and is a major fulcrum point on the Planetary and Stellar Grids. This knowledge has been known in more advanced eras.

Reshel geometries were placed by design to secure the matrix around it. In a sense these reshel grids are like a computer system, etheric software. They were deliberately put in place. There are more ancient systems that are in the class of the Reshel, but these are of a natural telluric, as opposed to man's placed system. (Most of these are yet to be discovered, and not yet fully understood. Attempts to locate them, and accurately map them are as yet incomplete.

Rosslyn Chapel is intricately connected to the Rosslyn Glen. The powerful ley line that runs through the glen along the river, encircles the Chapel, but does not intersect it. This provides a double matrix of clockwise and counterclockwise spin around the mound that emits the vortex complex into the chapel, and supports the pattern of the dimensional portal. The Castle nearby is also connected to the energy of the Chapel. It stores the energy of the founding St Clair and those who protected the site for centuries.

The energy within Rosslyn Chapel is generated and directly feeds a series of energy sites in Europe and Britain. The majorities of these sites have majestic Cathedrals constructed over them, and pulse with great energies. Rosslyn also both sends and receives energy from specific global locations, from a pulsed system, a more ancient system. This function was based in part on a solar grid work. But as the sun continually evolves it is not now what it was then in aspect and as such this system is not in exact synchronicity." -- James Tyberonn

Les tuyaux de Baigong

Les tuyaux de Baigong

Le Mystère : Dans un coin de la Chine n'ayant jamais été habité par les humains, encore moins par une industrie, il existe trois mystérieuses ouvertures triangulaires au dessus d'une montagne contenant des centaines de vieux tuyaux rouillés d'origine inconnue. Certains de ces tuyaux sont profondément enfoncés dans la montagne. Quelques-unes se rendent à un lac d'eau salée. Il y a d'autres tuyaux dans le lac, et davantage qui courent d'est en ouest sur le rivage du lac. Quelques-uns ont un diamètre de 40cm, ils sont de tailles uniformes et sont alignés d'une manière organisée.
Qu'y a-t-il de si curieux ? Bien, les archéologues ont daté les tuyaux à une époque où nos ancêtres tentaient simplement de faire cuire leur dîner sans se brûler le poil sur le dos, encore moins usiner des tuyaux.

Pourquoi est-ce si difficile à expliquer ? Bizarrement, les tuyaux sont propres malgré qu'ils soient plus vieux que Zeus. Cela suggère qu'ils n'ont pas simplement été enfoncés là pour le plaisir, mais qu'ils ont servi à quelque chose. Oh ! Avons-nous mentionné que la montagne était totalement inhospitalière à toute vie humaine ?

Comme toujours, une poignée de barjots croit que les Tuyaux de Baigong sont un ancien observatoire astronomique, ou même une station de lancement pour les engins extra-terrestres. Cela reste une possibilité étant donné que les tuyaux contiennent une proportion de silice telle que retrouvée sur la surface de la planète Mars. Bien entendu, le couvercle des chutes d'égouts dans votre rue aussi, alors prenez cela avec un grain de sel.



D'autres disent que c'est un canular. Nous aimerions poliment rappeler à ceux-là qu'en Chine on peut à peine s'essuyer le cul sans que le gouvernement s'en mêle, pour ce qui est d'installer une forge et de commencer à planter des tuyaux comme ça dans le sol juste pour éberluer les passant : très peu probable !

Résultats de la recherche baigong:

Ancienne Pyramide de fer en chine ?

http://chinefantastique.enchine.fr/tag/baigong

Guillaume Lefranchois, après 1446 ...

Jambes croisées...
Voilà l'explication, suivant l’atrocité de la mort et la durée entre le rapatriement du corps et du travail effectué dessus. Les jambes sont croisées pour accentuer la raideur du corps, tout simplement. Ci dessous il s'agit de Guillaume Lefranchois, après 1446 ...
Templier Véritas ...